Tonight, Friday, October 31, 2025, the Palais Garnier opens its doors to a world where reality dissolves, and magic reigns supreme. The veil between worlds grows thin. Shadows and moonlight stretch across the grand stage, and the forest of the Wilis rises, white and shimmering, ready to enact its timeless ritual of beauty, sorrow, and vengeance.
For weeks, the question has lingered over Paris: Who will be Giselle? Tonight, the mystery is revealed — the luminous Sae Eun Park will embody Giselle, the ideal, ethereal, and transcendent. She is not merely a performer; she is a living legend, carrying every audience member into the realm of the story, where love and forgiveness coexist with heartbreak and death. Her every movement is poetry, her every glance a spell. Each step, each turn, each delicate pause on the misted stage breathes life into the timeless legend of the young girl whose love is so pure that it transcends even death itself.
Opposite her, Germain Louvet becomes Albrecht — the perfect complement to Giselle, a partner of passion, regret, and devotion. Together, they will recreate the story that has haunted hearts for centuries: the love that blooms in innocence, the betrayal that shatters it, and the forgiveness that redeems it all. Each pas de deux is a conversation of souls, wordless yet filled with music, tension, and longing.
Clara Mousseigne reigns as Myrtha, Queen of the Wilis. Her presence is a vision of ice and command, each gesture slicing through the mist like moonlight on still water. Around her, the Wilis glide and float — ethereal, haunting, yet exquisite. Their sorrow is tempered by beauty, their vengeance softened by the music of Adolphe Adam.
And the night’s extraordinary cast surrounds these central figures, each contributing to the enchantment:
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Nicola Di Vico as Hilarion, steadfast, tragic, and devoted. 
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Elizabeth Partington in the Pas de deux (paysanne), full of charm and technical brilliance. 
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Théo Ghilbert in the Pas de deux (paysan), agile, joyful, and alive with energy. 
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Rémi Singer-Gassner as the other Pas de deux (paysan), his dancing precise, spirited, and expressive. 
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Jean-Baptiste Chavignier as Wilfried, commanding presence and exquisite technique. 
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Le Duc de Courlande, regal and dignified, adding depth and narrative to the royal tableau. 
Every detail of this night has been orchestrated to pull the audience into another world: the tremble of the violins, the hush of anticipation, the mist curling across the stage, the subtle shimmer of moonlight on countless skirts of tulle. Time itself seems to pause.
Sae Eun Park does not simply become Giselle; she channels every Giselle who has ever danced on the world’s stages — the grace of Dorothée Gilbert, the brilliance of Hannah O’Neill, the elegance of Héloïse Bourdon, the radiance of Amandine Albisson, the luminous artistry of Léonore Baulac — and yet she is wholly herself, a new incarnation, a Giselle reborn, glowing through the mist, touching every soul in the theatre.
Outside, Paris celebrates Halloween — masks, laughter, and candlelight flickering in windows. Inside the Palais Garnier, another world opens. The city, the streets, the distant hum of life — all vanish when the first trembling chords of Adam’s music sound. The audience holds its breath. The mist rises. And from the darkness, she appears. Giselle. Alive, fragile, eternal.
Tonight, the final Giselle of October — the last in this extraordinary series — will etch itself into memory. This is a night for the senses and the soul, a night when the theatre becomes a living forest, when the Wilis rise not only in dance but in spirit, and when the impossible becomes tangible: love beyond betrayal, forgiveness beyond death, beauty beyond words.
When the curtain falls and the last note fades into silence, the audience will leave in awe, carrying the echo of the music, the shimmer of mist, the memory of a Giselle who was more than a dancer. She was every soul who has loved, suffered, and forgiven. The Wilis will dissolve into the night, the moon will shine over Paris, and yet the magic will remain.
Tonight, the legend continues. Tonight, Giselle lives.
🌑 31 octobre – La Nuit des Wilis
Ce soir, vendredi 31 octobre 2025, le Palais Garnier ouvre ses portes sur un monde où la réalité se dissout et où la magie règne en maître. Le voile entre les mondes s'amincit. Ombres et clair de lune s'étendent sur la grande scène, et la forêt des Wilis se dresse, blanche et scintillante, prête à accomplir son rituel intemporel de beauté, de douleur et de vengeance.
Depuis des semaines, une question plane sur Paris : qui sera Giselle ? Ce soir, le mystère est levé : la lumineuse Sae Eun Park incarnera Giselle, l'idéal, l'éthérée, la transcendante. Elle n'est pas une simple interprète ; elle est une légende vivante, transportant chaque spectateur au cœur du récit, où l'amour et le pardon côtoient le chagrin et la mort. Chacun de ses mouvements est poésie, chacun de ses regards, enchantement. Chaque pas, chaque virage, chaque pause délicate sur la scène brumeuse insuffle la vie à la légende intemporelle de la jeune fille dont l'amour est si pur qu'il transcende même la mort.
Face à elle, Germain Louvet devient Albrecht – le complément parfait de Giselle, un partenaire de passion, de regret et de dévotion. Ensemble, ils recréeront l'histoire qui hante les cœurs depuis des siècles : l'amour qui éclot dans l'innocence, la trahison qui le brise et le pardon qui le rachète. Chaque pas de deux est un dialogue d'âmes, silencieux mais empli de musique, de tension et de désir.
Clara Mousseigne règne en Myrtha, Reine des Wilis. Sa présence est une vision de glace et d'autorité, chaque geste fendant la brume comme le clair de lune sur l'eau calme. Autour d'elle, les Wilis glissent et flottent – éthérées, envoûtantes et pourtant exquises. Leur chagrin est tempéré par la beauté, leur vengeance adoucie par la musique d'Adolphe Adam.
Et la distribution exceptionnelle de cette soirée entoure ces figures centrales, contribuant chacune à la magie du spectacle :
Nicola Di Vico, dans le rôle d'Hilarion, inébranlable, tragique et dévoué.
Elizabeth Partington, dans le Pas de deux (paysanne), pleine de charme et d'une virtuosité technique remarquable.
Théo Ghilbert, dans le Pas de deux (paysan), agile, joyeux et débordant d'énergie.
Rémi Singer-Gassner, dans l'autre Pas de deux (paysan), dont la danse est précise, vive et expressive.
Jean-Baptiste Chavignier, dans le rôle de Wilfried, impose le respect par sa présence et son art.
Le Duc de Courlande, majestueux et digne, apporte profondeur et dimension narrative au tableau royal.
Chaque détail de cette soirée a été orchestré pour transporter le public dans un autre monde : le frémissement des violons, le silence de l'attente, la brume qui ondule sur scène, le subtil scintillement du clair de lune sur d'innombrables jupes de tulle. Le temps semble suspendu.
Sae Eun Park ne se contente pas d'incarner Giselle ; elle canalise toutes les Giselle qui ont foulé les scènes du monde entier – la grâce de Dorothée Gilbert, l'éclat d'Hannah O'Neill, l'élégance d'Héloïse Bourdon, le rayonnement d'Amandine Albisson, le génie lumineux de Léonore Baulac – et pourtant, elle est pleinement elle-même, une nouvelle incarnation, une Giselle renaissante, rayonnant à travers la brume, touchant chaque âme dans le théâtre.
Dehors, Paris célèbre Halloween : masques, rires et lueurs de bougies aux fenêtres. À l'intérieur du Palais Garnier, un autre monde s'ouvre. La ville, les rues, le murmure lointain de la vie – tout s'évanouit dès les premières notes vibrantes de la musique d'Adam. Le public retient son souffle. La brume se lève. Et des ténèbres, elle apparaît. Giselle. Vivante, fragile, éternelle.
Ce soir, la dernière Giselle d'octobre – la dernière de cette série extraordinaire – restera gravée dans les mémoires. C'est une nuit pour les sens et l'âme, une nuit où le théâtre se fait forêt vivante, où les Wilis s'élèvent non seulement par la danse mais aussi par l'esprit, et où l'impossible devient tangible : un amour au-delà de la trahison, un pardon au-delà de la mort, une beauté indicible.
✨ Sae Eun Park — la divine Giselle, lumineuse et immortelle.
✨ Germain Louvet — Albrecht, le partenaire idéal dans l'amour et le chagrin.
✨ Clara Mousseigne — Myrtha, Reine des Wilis, radieuse et imposante.
✨ Nicola Di Vico — Hilarion, dévoué et tragique.
✨ Elizabeth Partington — Pas de deux (paysanne), charmante et brillante.
✨ Théo Ghilbert — Pas de deux (paysan), agile et plein de fougue.
✨ Rémi Singer-Gassner — Pas de deux (paysan), précis et expressif.
✨ Jean-Baptiste Chavignier — Wilfried, imposant et élégant.
✨ Le Duc de Courlande — royal, digne et noble.
✨ Le Palais Garnier — un temple de la magie, où le voile se lève et où règne l'esprit du ballet.
Quand le rideau tombera et que la dernière note s'évanouira dans le silence, le public quittera la salle, émerveillé, emportant avec lui l'écho de la musique, le scintillement de la brume, le souvenir d'une Giselle qui était bien plus qu'une danseuse. Elle était chaque âme qui a aimé, souffert et pardonné. Les Wilis disparaîtront dans la nuit, la lune brillera sur Paris, et pourtant la magie demeurera.
Ce soir, la légende continue. Ce soir, Giselle est vivante.

 
 
 
 
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